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Tis & Kaer MKS (SKR) - ROBOTS [2023]

by TIS

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1.
Robots (intro) 01:58
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Introduction, et premier ceau-mor, du son fort, juste au bord du gouffre, ouais, si tu souffres, on t’en sort, MKS et consort, en souplesse, les mots se tordent, GRS, acrosport, T.I.S a de beaux scores, des voyelles et consonnes, les voix pleines de l’Essonne, Les demoiselles se voient belles, mais je crois qu’elles déraisonnent, /mon cartel écarte celles/ qui se la jouent Pamela Anderson, celles qui t’appellent, et t’harcèlent au phone, t’es pas à Malibu, je suis pas Hasselhoff, conne, je suis pas assez love, comme ton visage se renfrogne, je continue mon vice, fils de la rivière Hudson, de la Nike air custom, Dream des Rockets Houston, frime, le flow pèse une tonne, je rime, ça vaut presque une somme bling, mérite presque une com digne, PS, postscriptum, T.I.S, M.K.S.brillent, et disposent d’une forme olympique, et le fond s’aligne, on y cause, entre homme… de joie et d’allégresse, de noich et de négresse, de poisse et de détresse, d’angoisse et de vrai stress, de force et de faiblesse, en hausse ou légère baisse, de Porsche et de belles caisses, choses qui suggèrent l’ivresse la joie et l’allégresse, la noich et la négresse, la poisse et la détresse, l’angoisse et le vrai stress, la force et la faiblesse, en hausse ou légère baisse, la Porsche et les belles caisses, choses qui suggèrent l’ivresse
2.
Sunshine 03:57
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(Sunshine) quand il fait beau, quand il est tôt, quand il fait chaud, quand il est trop tard pour souffler (sunshine), quand le tempo, rythme un air slow, dicte un tel flow, je dis qu’une belle go peut s’y retrouver (x2) je vois que les filles et les garçons, sapés clean pour l’occasion, sortent les bling, les médaillons, les belles timbs, les hauts talons, les jupes fines, les pantalons, les berlines de location, car la frime est de saison, aujourd’hui c’est le (sunshine), ça fait tchin entre gin, whisky glaçons, une sublime dégustation et des ultimes vibrations quand ma rime entre en action, quand les lignes sont à foison, quand les signes d’inclinaison se dessinent, c’est le (sunshine) summer queen, seigneur digne pour l’attraction, le timing de séduction arrive pile à l’heure du son qui souligne les ambitions, les envies et les pulsions, laissant vivre la passion, l’essence vive de la nation, pas de beef, d’altercation, pas de gif, d’animation, pas de meme, pas de tweet, de topic de discussion, c’est un weekend unique, ou je kicke mes intentions, ou je profite de l’occasion, j’atteins le pic de l’ascension... moi et ma clique, mc et dj, des gens visibles et des gens discrets, toi et ta clique de sirènes, vous me rendez distrait, j’en oublie mes mots, J’en oublie mon flow, j’en oublie mon show, j’en oublie ce que j’ai dit juste avant, j’en oublie mes mots, J’en oublie mon flow, j’en oublie mon show , j’oublie tout mais je repars juste a temps (Sunshine) quand il fait beau, quand il est tôt, quand il fait chaud, quand il est trop tard pour souffler (sunshine), quand le tempo, rythme un air slow, dicte un tel flow, je dis qu’une belle go peut s’y retrouver (x2) tout le monde aime le sunshine, l’effet du summertime, la mauvaise humeur plane, mais se tait quand le fun parle, quand elle caresse mon crâne, la zik apaise mon âme, ma clique appelle au calme, mais augmente la température locale, on passe de SWV à Total, soit du r’n’b vocal pour focaliser nos idées sur toutes les cibles a tirer, normal, j’ai décidé de viser l’impossible et citer Lomepal, à la recherche de cette foutue perle rare, quelque part, le midi ou tard le soir, je finirais bien par l’avoir, j’ai besoin d’une reine et pas d’une hyène attirée par la gloire ou validée par la foire de vos réseaux sociaux qui ferait peine à voir, il faut savoir que si tu me traites en faire-valoir, je préfère m’asseoir, c’est pas juste l’affaire d’un soir, suis je le seul à perdre espoir, elle ne veulent plus être des soleils mais des stars et on finit toujours par les décevoir (Sunshine) quand il fait beau, quand il est tôt, quand il fait chaud, quand il est trop tard pour souffler (sunshine), quand le tempo, rythme un air slow, dicte un tel flow, je dis qu’une belle go peut s’y retrouver (x2) brille comme le soleil, vas y brille comme le soleil, fille, brille comme le soleil, vas y brille comme ses rayons, garçon (x4)
3.
Minimum 03:32
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Quand je rappe, faut que je tape des wacks, c'est le minimum, un track, et le plancher craque, c'est moi qui dégomme et frappe toutes les rythmiques fat ou les filiformes, un pack de mes petites rimes claque, j'ai un style énorme... tous les mc's fument du crack ou de l'aluminium s'ils pensent me battre dans ce millenium... Fuck les paillettes et les strass, t'es pas si mignonne, pétasse, t'es qu'une starlette en silicone... C'est moi qui rigole en face de toi, vile icône en plastique en place, et infinie conne... Tu peux compter sur un classique, j'ai que des mesures drastiques, bourrasques et mini cyclones... Moi je rase les similis zones... Plus de lignes qui passent que sur Verizon... Des figures de style comme sur Horizone, et une écriture fine qui sublime le son qui résonne... moi j'écrase les mcs en soldes...transforme tous les nases en tapis de sol... pas de rimes et phases do re mi fa sol, on réécrit l'histoire, donne l'espoir, c'est le minimum.... Un rap et je tape des wacks, c'est le minimum, un track et le plancher craque, c'est le minimum, un Mac, un mic, une prise jack, c'est le minimum, un sack pour ton quaterback, c'est le minimum (x2) .... je rappe des rimes pour ma team, c'est le minimum, au pied, des Nike ou des Timbs, pas de Palladium, on tape la frime sur le parking, Pandémonium de Pharcyde dans le karting quand les villes s'endorment... Même si l' rap nous épuise, on donne du rab, et l'ennemi s'en mord les oid, on est puissant comme... Un teau-mar de face qui t'assomme, un Carter sur Weiss ou un Mike Finley sur Malone... Dans la place, le Mc marmonne, mais je le déclasse, reste de glace comme un sinobole... T'es pas vraiment une menace, même au microphone, tu passes pas la case départ ni la geôle... Efficace, on produit l'album... dédicace à Astone ou Mister Hone... ceux dont les sons bastonnent, en guise de com, envoient des prods qui cartonnent comme Carlton à Princeton... Moi c'est Tis, entreprise Dyson... Gotham City Kids, toutes les villes d'Essonne... Et les West indies savent bien qui nous sommes, moi et ma liste d'artistes, a 5-6 au minimum. je rappe des rimes pour ma team, c'est le minimum, au pied, des Nike ou des Timbs, c'est le minimum, on pose un tag dans ta ville, c'est le minimum, on fuck Marion et Marine, c'est le minimum (x2). Tu connais mon blaze non? Tu connais ma place et tu connais mon classement, tu connais ma zik et tu connais mon passe-temps, tu connais ma clique ou la découvre à l'instant, c'est le côté pratique, et tu connais mon pincement de cœur pour le rap et tu connais le grincement de dents pour les wacks, et ça fait plus de 15 ans que je les matraque, un peu comme le 113 clan, attaque, contre attaque (x2) 16 mesures sur le Beat, c'est le minimum, rester pur et technique, c'est le minimum, dresser le mur contre le flic, c'est le minimum, Resto sûr pour ta chick, c'est le minimum (x2)
4.
Etat d'esprit 02:07
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Je rappe sur le tempo, pas sur le thème donné, maintenant tu me connais, je fais la même chose, pose depuis des années, et puis désormais, je viens vous désarmer par une belle prose, ouvre une javel dose pour tout renettoyer, balayer, puis défendre une nouvelle cause, cause pour les employés, trop souvent noyés, dont le loyer ou le foyer explose, yeah, j'ai des roses déployées, pas de ronces débraillées, que des bouquets qui éclosent, si tu oses t’éloigner de ces beautés soignée, c'est que t'as les paupières closes, (T) vibe légère Pauline Croze, (I) attaque éclair Derrick Rose, (S) regard vénèr de l'hypnose, mon pera t'indispose, t'attrapes une sinistrose Mon rap est comme celui des States, mon rap est celui qu’on respecte, mon rap est celui qu’on laisse rec et que l’on mixe, Mon rap est comme celui des States, mon rap est celui qu’on respecte, mon rap est celui qu’on dissèque pour ses lyrix Baisse pas la tête non, gâche pas la fête quand je dégage les serpents, dédicace les vrais gens, mes gars sur les rangs, soldats et sergents, gentils ou méchants sympathiques ou très chiants, c’est vite alléchant quand je kicke en même temps que la zik défile et c’est un petit événement, j’ai plein de style et j’écris jamais vainement au stylo bille quand je prend le papier blanc, classique et tellement magique, on est dans la clique aux diamants, le mic argent, l’école du bic qui abdique pas facilement, l’époque des hits qui s’écrivent moins facilement (T) je nettoie au détergent (I) tous vos raps de charlatans (S) menteur, arracheur de dents, t’étais moins à fond dedans quand y avait pas d’argent seulement Mon rap est comme celui des States, mon rap est celui qu’on respecte, mon rap est celui qu’on laisse rec et que l’on mixe, Mon rap est comme celui des States, mon rap est celui qu’on respecte, mon rap est celui qu’on dissèque pour ses lyrix Gotham City Arkham, dans le sud de Paname, sans Selina Kyle, Robin ou Batman, rempli de bad man, de bandits bas de gamme qui, la nuit, s’enflamme pour pas grand chose, Gotham City Arkham, dans le sud de Paname, sans Selina Kyle, Robin ou Batman, du bruit du vacarme, on fourni pas le calme, notre principale arme reste la prose (x2) Mon rap est comme celui des States, mon rap est celui qu’on respecte, mon rap est celui qu’on laisse rec et que l’on mixe, Mon rap est comme celui des States, mon rap est celui qu’on respecte, mon rap est celui qu’on dissèque pour ses lyrix
5.
Colin Kaepernick 01:56
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Envoie le kick, envoie le snare, envoie l'ambiance électrique et j'espère apporter toute la technique nécessaire, aborder la thématique et c'est clair qu'il faut être fier, garder l'attitude, qu'il faut déplaire, rapper la vie rude, qu'il faut la guerre pour atteindre la plénitude, qu'avoir la paix, c'est pas l'affaire d'une minutes, qu'on fout la merde de nos idées ridicules, que tout sera dead avant même qu'on capitule, que tu nous feras jamais avaler la pilule, poing en l'air, genou à terre, soldat qui lutte... Poing en l'air, genou a terre, Colin Kapernick (x2). Y a pas qu'en Amérique que la polémique vous rend colérique, mais c'est prophétique de la fin de votre monde économique, du parfum nauséabonde qui abonde des flics, les bavures policières, c'est pas ce qu'on mérite, les erreurs judiciaires, on les compte très vite sur une main et c'est du poing qu'on réplique, on est tous des êtres humains, c'est ce qu'on explique, on est tous des citoyens, pas de fausse élite, on est tous des types moyens, on défend ce titre, on est tous des gamins, tous des doyens, tous des victimes dans le libre arbitre, pas de cause ethnique, de mots prosélyte mais une prose unique pour les posses et cliques, pas d'idiot sceptique dans la grosse équipe, mais des gars fiers qui ont mis de côté le fric, pas de cause ethnique, de mots prosélytes, mais une prose unique pour les posses et cliques, on est des John Carlos et des Tommy Smith, poing en l'air, genou à terre à la Kaepernick.
6.
Fin du monde ft.Darea 02:38
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(Tis) Ça sonne comme la fin du monde, comme un divorce, une nuit de noces immonde, un samedi Corse ou t'amorces une bombe, 5 ou 6 gosses dans la force du nombre, et qui force une blonde à faire des choses sales, quand t'y penses 2 secondes, c'est invraisemblable, cote obscur, sombre, quand tu sors plus de l'ombre, ta conscience pure tombe dans l'emprise du mal, quand le mercure monte, quand la guerre fut longue, quand la terre succombe via l'entreprise Total, que l'imposture trompe, que la mort surplombe, que le Pole sud fonde, ça m'inspire ce style vocal, ça sonne comme la fin du monde, comme une panique locale, et une faillite globale, on râle, ça sonne comme la fin du monde, époque immorale, du hip hop qui fait mal au crâne, ça sonne comme la fin du monde, voir les potes et la famille au calme, y a que ça qui nous parle, et je trouve ça normal quand tout s'annonce mal que le groove soit mortal, nos bouches de morfal qui l'ouvrent ont la dalle, le moov, on l'avale en prouvant le travail, découvrant la faille, c'est souvent la maille qui vous rend racailles, tout fout le camp, bataille dans les rangs d'Arkham (Darea)Tu sais comment ça sonne quand ça vient de l’Essonne, 9.1, Nous on rappe comme personne, mets moi un son j’le transperce, la musique qui nous berce, dans nos têtes, ça gamberge, on n’est pas sorti d’l’Auberge, Vida loca pour les loco de ma zone, en direct de la jungle, du pays des amazones, plus l’ombre d’un zèbre, vu qu’on a quadrillé la zone, dis leur bien et répète leur, ce n’est pas la violence que l’on prône, pourtant il laisse couler le sang, tout ça pour s’emparer du trône, finir à Fleury ou Fresnes, plus la mort qui nous frôle, gros gamos, jantes chromes, pick pocket dans le trom, y’a la cam dans le drone, v’la l’attaque des clones, on s’croirait dans un cirque, parce que v’la les clowns le débat est clos, si tu l’ouvres trop et que tu gênes! « Haine » parce que le langage est de plus en plus obscène, parce que l’atmosphère comme l’ambiance est malsaine! Assassin est l’insigne! Rien qu’on saigne et on signe, douleurs qu’on nous enseigne, à force qu’on nous indigne ! Pour eux, c’est une aubaine, qu’on prenne la partie infime, quitte à devenir infirme Ils souhaiteraient qu’on s’la ferme! Ou bien qu’on nous interne Au point qu’on nous enferme, volent même nos vies intimes ! Mais pourtant, on s’affirme ! Fin du monde, on est dedans, Mais pourtant, on s’accroche! On aspire au paradis, Mais de l’enfer, on s’rapproche! (Kaer) Ça sonne comme la fin du monde, épidémie mondiale qui décime en nombres, ou la bombe nucléaire déclenché sur terres, causant des centaines de milliard de morts, ouais j’avoue c’est gore comme un thriller hardcore, mais la réalité dépasse la fiction, élection d’un pantin mettant trop de fond de teint, faisant face un fou prônant le culte de sa personne, ça, personne ici ne s’en fait de soucis, mais si cela continue dans l’escalade, ou va t’on ? plus le temps de chanter des ballades, ou d’écouter leurs salades, prends garde la dégringolade est proche... prends soin de tes proches, oublie un peu tes poches, les remplir de vide, ne valent pas la vie, le bonheur n’est pas d’avoir, c’est seulement de pouvoir le faire autour de soi, tous égaux ici bas et si la fin est proche personne ni réchappera même pas toi, même pas moi, car personne ni réchappera La fin du monde
7.
Racines 04:31
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(Kaer) An lo moun ka mandé mwen ki coté mwen ka sowti ? (beaucoup de gens me demandaient d'où je venais) A l’epok sa pa jen féw mwen ayen, mé an comansé bon evè sa (à l'époque, ça ne me génait pas, mais ça commençait à me lasser) Pou yo mwen pa vin de péyi la, couléw an mwen ka derangé yo (pour eux, je ne venais pas du pays, ma couleur les dérangeait) Pou yo an pa nèg, po yo an pa blan (pour eux, je ne suis pas noir, pour eux, je ne suis pas blanc) couléw an mwen ka derangé yo mai poutan (ma couleur les dérangeait, mais pourtant) Tous les gens me demandent où sont mes racines...(x8) (Tis) Les gens me demandent d'où je viens..Tunisien ou marocain? Métisse ou pas, mais dans tous les cas, gars, c'est triste, ce n'est pas assez bien... trop blanc pour les africains, trop noir pour le français moyen, trop slow pour le parisien, en un seul mot, négropolitain... un autre antillais chabin, qui a le mauvais teint, qui écrit 9.7.1 sur les pages, parmi les nègs, les zindiens, les jeunes, les anciens, les bougs de mon coin, de mon âge, ceux qui habitent toujours loin de la plage, ceux qui connaissent le malsain décalage, ceux qui sont nés ici, moins chanceux que certains, mais on ne choisit rien, c'est dommage, mais je n'oublie pas d'où je viens en fait, c'est dans mon corps, mon cœur et ma tête, c'est dans mon sang, et celui de mes ancêtres, c'est indécent que tu mènes l’enquête, pour savoir ce que j'accepte ou rejette, France ou Antilles, choc(olat) ou vanille, choc des familles que j'aime et respecte, moi j'ai deux iles d'enfance, Guadeloupe, Ile de France, mal être et souffrance, palette et nuances dans mes chiffres et mes lettres à vos tendances, hors du basket et foot, de la fête et zouk, c'est la défaite en toute circonstance, mal être et souffrance, palette et nuances dans mes chiffres et mes lettres à vos tendances, hors des athlètes et soul sisters au bon boule, les renois s'écroulent dans l'ignorance Tous les gens me demandent où sont mes racines...(x8) (Kaer) An sav sa an yè, an konnèt tout racines an mwen (je sais ce que je suis, je connais mes racines) Aujourd’hui je viens remercier, ceux sans qui je ne serai rien, mon père, ma mère, je suis issue de leurs amour, une blanche, un noir, à l’époque ça ne court pas les rues, mais ils « fuck »les rumeurs, ils s’aiment et fixent leurs destin, sans une peur, pour mon avenir, m'ont donnés le meilleur, m’ont transmis leurs deux bonheurs
8.
TADM (outro) 02:23
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(Kaer) Tout autour du monde, beaucoup d'idées se confondent, rodent, tournent de mauvaises ondes, celles ci même qui grondent, qui font de l'ombre (x2) Je vois ce qui se passe autour de moi, plus rien ne va, trop de gens qui ne se comprennent pas, et combien ne prennent plus le temps de parler, et combien ne prennent plus le temps, tous pressés! Alors on stresse, les médias nous agressent, comment veux tu qu'on progresse, têtes baissées dans la tess, monte le son dans la caisse, on s'évade, on s'envole, pour oublier notre tristesse... On s'évade... on s'envole... (Tis) On s'évade grâce à la zik, escalade le site, et passe à la suite, en fait, on kick tous les parasites, ceux qui nous soulent vite, et on roule les vitres ouvertes, entre Évry, Massy et Villelouvette, mais t'entends pas de rythmiques toutes faites, et de vibes mystiques ou tristounettes, on fume le mic en une petite soufflette, tout autour du monde, y a beaucoup d’idées qui se confondent, et peu qui me reflètent, coupe en une seconde ce qui passe sur les ondes, car tout est immonde et infect, tout autour du monde, y a beaucoup d’idées qui se confondent, et peu qui sont faites pour mes gars dans l'ombre, comme Dys et Fei Long, l'odyssée fut longue, mais j'arrête... net!! car je suis un robot en fait... non on est pas des robots en fait

about

Kaer MKS: Shout out to 917watts, original sound, o2c krew, jahman killah, RJK Family, 5Loup, Ouayiie, H&M LOW

Tis: Love to Lawyer and Gotham City Kids. Big up to 917W, KSL, O2C, Gang Jahman, SPC, TÖY, Octobrothers, Dyson Bros, Etrange Nature, Black Rice Gang, Ouayiie, QB Lex, Dje et tous mes vrais vrais gars (vous êtes pas nombreux)...

credits

released May 17, 2023

beats: Kaer MKS, sauf TADM; Beat Komodo
lyrix: Tis, Kaer; Darea
mix: KSL Click (Tis/Dari 917/Kaer MKS)
cover: DJE85

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