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Tis & Öster (T​Ö​Y) - Terror Of the Year [2023]

by TIS

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1.
Oh les gars, ôtez moi d’un doute mais je crée de beaux dégâts quand je kicke avec le o tréma, je viens pas chanter la bodega, c’est la zik des labos, des rats, des scientifiques de Moderna, entre vouloir et pouvoir être mc, y a un bien gros delta, donc chut, chut, répondez pas, moi je culbute vos faux débats, vos rappeurs sont pas fut fut, donc zut flûte, accordez moi moins d’une minute que j’accélère leur chute brute, en bon ninja, protège ton cou, ta nuque, uc, vu qu’on exécute fauve et rat, gars d’octobre, fini de jeter l’opprobre, on va plutôt nettoyer le Game a l’eau propre via nos prods, c’ est le mot d’ordre, ok la zik est trop forte mais celle ci vous réconforte, ou pas, mais o tréma sort le métronome, donc on y va. Je gratte et vit dans le défi, te gratifie d’un graffiti, je grave ici sur ta hifi, je toy (x2) encore un jet de spray, fait exprès, on graffe et bave à l’excès, je grave mon blase a l’exter au son des kicks et des snares, y a qu’un pas entre le crayon et le crilon, disons qu’on laisse faire l’inspiration, du papier au carton, du cahier au wagon, O tréma, S.T.E.R fait vibrer la nation, je suis le technicien certifié pour électrifier la station, mon kiff et ma passion, c’est de griffonner de diverses narrations, pour vifs et mollassons, vos filles et vos garçons, la kill génération, y a t il déflagration quand je parle de bombe de peinture, de la plus sombre écriture pour clairement cibler mon action, attention aux salissures, j’écris pour vivre l’occasion de pouvoir vider l’encre a fond, et fidéliser l’opinion, c’est bon Je gratte et vit dans le défi, te gratifie d’un graffiti, je grave ici sur ta hifi, je toy (x2) je toy la devanture, la couverture, la belle voiture, la vieille toiture, la grosse figure, j’ai l’écriture pour les gris murs, si d’aventure t’as la vie dure, des tas de fissures, pas d’amis purs, viens par la mon pote, je concocte une toute nouvelle mixture, je suis à la popote, je complote et colporte des fausses notes, des hausses fortes, des choses hot, des proses top, des pauses clopes, le climat sur Ris-pa est aussi froid qu’à Vladivostok, mais j’apporte plus de couleurs que sur un kaléidoscope, et prédis ton horoscope, amour argent santé bonheur, la c’est l’horreur si tu fais l’erreur de nous boycott’ b boy comme Tony Mascot, et animateur comme Lion Scott, dj graffeur mc danseur we don’t stop Je gratte et vit dans le défi, te gratifie d’un graffiti, je grave ici sur ta hifi, je toy (x4). Laissez passer les douze ou seize mesures que je voudrais placer, je rap depuis ma vingtaine, la quarantaine n’a pas su me blaser, j’assume, parfait, j’ai toujours le même costume, un pull froissé, j’ai toujours les mêmes Nike air avec les bulles et fat lacets qu’ont pu tracer ma route sans aucun doute, sans vous écraser, normal je suis asocial comme Al et Casey, rien d’effacé, Come on feet, y a t il une limite à ne pas dépasser? Aucune, on vise la lune sans paraphraser un son français, y a rien de vulgaire, pas de vocabulaire outrancier, y a que des vers qu’on transmet, échanges de verbes insensés, mélanges de termes inventés, étranges mais pas étrangers à tous ceux qui sont branchés à notre culture de dérangés, donne la structure à l’ingé, un 16 mesures allongé, t’as plus qu’à tout arranger avec l’expérience engrangée, après 2018, voici la suite, mais rien n’a changé, c’est toujours pas la fête au fait, tes vedettes sont en danger
2.
Intra Muros 02:55
Moi j’ai besoin d’une pause, viens on s’barre et on se pose, viens qu’on parle et qu’on cause, qu’on bavarde et dispose d’un temps imparti, bien réparti pour qu’on aiguise nos armes et puis qu’on déguise nos larmes en de fantastique prose, devenant chose indispensable, je chill dans la ville, mais je suis trop antisocial, moi je file quand ça vrille, Tis et Öster vise ton âme de kid quand ça brille, quand c’est bruyant, plus qu’attirant et que les lumières scintillent, c’est suffisant, pour mon inspiration depuis au moins 10 ans, mais Gotham City la nuit, c’est épuisant, électrisant, celle ci est un ennemi en même temps qu’un amant séduisant, de la pluie, du r’n’b, et t’es pris dans l’ambiance du ciment, rien d’aussi grand que le périph ou j’arrive en hallucinant, on a tous eu la même idée, on s’est laissé téléguider, mais s’est brisé notre élan, le rythme est irrégulier, vraiment très lent, la lutte a débuté à Porte d’Orléans, en gros, je suis pris dans le traffic, le cœur de la ville palpite, il s’agite, il bat vite, pour certains, c’est un bad trip, dans ma caisse, y a un fat beat donc j’écris sur ce que je vois, un 3 voies classique, un convoi massif et je conçois la suite, et fais un constat pratique, si t’es pressé, la course devient dramatique, si tu laisse couler, ça sera plus sympathique, bien sur la zik, j’ai écrit et pris que des mesures drastiques, cette ville est pleine de mépris mais c’est la fille dont je suis épris donc en principe, l’inspiration vient d’elle, inspiration, expiration, respiration interne, la vibe est intra-muros, donne l’explication à terme de ce que je comprend et suppose de la mécanique du verbe, y a rien de logique (x2). J’ai fait le tour des mauvais tours, je connais tous les coups bas, et roule avec des vrais gars, sans mes homeboys je ferais quoi!, KSL, TOY, G6K, besoin d’une prod, j’hésite pas, pas trop du genre délicat, je suis né pour ça comme la cliqua, jersey porteur, collectionneur d’authentic et replica, taille de gros pour un petit gars, style rétro comme l’Amiga, je traine en ville comme dit Biga (Ranx), avec la zik en giga, pour les garçons et filles des Antilles, Trinidad, Antigua, des rappeurs bien meilleurs que moi, t’en comptes pas sur les dix doigts, fuck la mode et ses diktats, les codes, les clips 100 000 k, je me moque du disque à Vitaa, de la garde robe de Mika, je suis jazzy dans le style mais soûl en ville comme Simon Sika
3.
Moi je prend la vie comme elle vient, j’apprends qu’elle vise quand même bien, je suis perdu dans les rues de ma ville avec les filles que j’obtiens (la folie, l’insouciance) on avance main dans la main (l’euphorie, l’inconscience) comme ça jusqu’à demain matin…. c’est cool quand on roule dans Paname plutôt que s’écrouler dans un tram, ou pire, laisser le temps s’écouler et se dérouler dans la rame, j’ai rdv avec des fous, mon son soulève le macadam, met la ville sans dessus dessous, non je ne goûte pas au vague a l’âme, j’arriverais dans un gras vacarme, toujours à la bourre à la place Wagram, pour faire sursauter le plus sourd des Rasta man, Paris Sud, Essonne, Seine et Marne, je suis pas sûr que mon attitude plaise aux dames, je suis devenu plus rude et bien moins impressionnable, et je prend la vie comme elle vient, j’avoue, je traine, je ne fais rien, je suis cool et zen, je roule et sème, contourne mais freine pas le destin, ce soir, c’est le bon soir pour faire valoir ses droits de bohémien, zonard, fêtard, bon à rien, mais comme par hasard, on est plein on prend la vie comme elle vient, j’apprends qu’elle vise quand même bien, je suis perdu dans les rues de ma ville avec les filles que j’obtiens (la folie, l’insouciance) on avance main dans la main (l’euphorie, l’inconscience) comme ça jusqu’à demain matin…. C’est cool quand on roule dans Paname si t’oublies le vice et puis l’infâme agent de police qui, l’air de rien s’immisce et pour un rien s’enflamme, nègres ou métisse face au de-kis, dis pas de bêtises, garde ton calme, nos relations et conversations en disent long sur l’amalgame, les poulets ne sont que des oisillons, des nazillons avec une arme, et pour eux je ne suis qu’un petit con, vendeur de pilons, mangeur de bananes, chacun garde ses positions comme Gropiron sur la montagne et on glisse sur tes opinions, c’est trop mignon mais la, on stagne, on prend la vie comme elle vient, et souvent c’est un casse tête, elle frappe sec, fait place net, de base, écrase tes baskets, je sais combien l’habit fait le moine quand je me pavane en casquette, Gotham City Arkham en oim, j’ai compris donc je l’accepte on prend la vie comme elle vient, j’apprends qu’elle vise quand même bien, je suis perdu dans les rues de ma ville avec les filles que j’obtiens (le mépris, la méfiance) on avance main dans la main (le défi, la défiance) comme ça jusqu’à demain matin…. C’est cool quand on roule dans Paname, à part quand tu vois le clochard, qui rêve mais vit un cauchemar, qui se lève quand viennent les couches tard, qui crève pendant que certaines femmes accouchent, sortez les mouchoirs, pas de sang bleu, plutôt rouge noir, allumez cierges et boudoirs, j’apprécie donc mon privilège mais pas de siège, de pouvoir, déjoue les pièges du boulevard, autant je les tej sans le vouloir, autant j’y repense quand j’avance en plein milieu de ce foutoir, la zik est un défouloir magique dans lequel je peux me mouvoir, et je prend la vie comme elle vient, mais je suis l’humain qui, ce soir, croise les putains du trottoir, et même plus d’un vrai soûlard, qui n’ont plus rien, si l’espoir fait du bien, pour plein c’est trop tard, pour nous, lézard et lémurien ou rat de laboratoire on prend la vie comme elle vient, j’apprends qu’elle vise quand même bien, je suis perdu dans les rues de ma ville avec les filles que j’obtiens (l’insomnie, la conscience) on avance main dans la main (l’agonie, la souffrance) comme ça jusqu’à demain matin….
4.
Quarantaine 04:04
Je quitte Paname et reviens dans mon coin, je kicke pas mal de mesures sans refrain, et de répliques fatales, dont je ne trouve pas la fin, depuis que je râle, j’en oublie qu’on est bien, j’ai pris le moral et le trait Parisien, le côté sale d’un mécanicien, Öster déballe, tel un vrai magicien, l’instrumentale, qui fait que chacun cible un déraillement de train train quotidien, nouveau western, tant de shérifs et d’indiens, en ce qui me concerne, le périph ne me retient pas longtemps, je retourne d’où je viens, mais tourne en rond quand même, toujours à fond dans le thème, je perd mon temps, car gagner de l’argent, c’est tout ce qu’on t’enseignes, c’est clair, mon grand, y a pas sentiment et très peu d’entraide, hyper conscient de ce qui m’attend, exactement, je suis dans la crise de la quarantaine, (met) tes envies d’artiste entre parenthèses, établit ton biz, ou ta vie sera mauvaise, crise de la quarantaine, arrête tes bêtises quand tu parles en 16 (mesures) les autres parlent en mise, les autres parlent en pèze/prestige… je tourne en rond et je perd mon temps, c’est ce qu’ils disent…. je tourne en rond et je perd mon temps, je fais une crise... Je quitte Paname et reviens dans mon coin, toujours de la musique en tête, mais pas de fête à la fin, ça m’a rendu bien plus bête vu que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt en fait, 5 a 7 le matin, j’achète vinyle et cassettes, et gâche tout mon butin, tordu, je pollue la planète, crache mon jus, mon venin, marché conclu sur Vinted, je dépouille les magasins, j’ai moins de revenus que de dettes, la j’arrête c’est malsain, le temps est assassin, j’ai deux amours et quarante haines, ne passe toujours pas à l’antenne, ne pense toujours pas à long terme, j’avoue c’est pas malin, je fais des tours et je me promène, je rentre à la bourre car je traine, je suis la source de mes problèmes, pas la peine de voir plus loin, je n’ai pas le parcours de bohème, ne fais pas de concours de poèmes, je cours après les bpm, écrit non contemporain, je ne fais d’humour sur la scène n’envoie pas du lourd toutes les semaines, c’est par deux que j’ai multiplié la vingtaine, je suis dans la crise de la quarantaine, (met) tes envies d’artiste entre parenthèses, établit ton biz, ou ta vie sera mauvaise, crise de la quarantaine, arrête tes bêtises quand tu parles en 16 (mesures) les autres parlent en mise, les autres parlent en pèze/prestige… je tourne en rond et je perd mon temps, c’est ce qu’ils disent… je tourne en rond et je perd mon temps, je fais une crise.. Tu croyais que c’était fini, au micro, voici del negro comme Vinnie, pour les gros ou les minis, passe du zéro au milli, ni vrai ni faux mais silly, demande l’info à Siri, le flow des mots est haut, rec la démo sur Audacity, ma musique de prolo fuit le ghetto mais son âme y vit, s’inspire des studios Ghibli, de la HBO tv, c’est le sironimo de midi, le Fido dido qui suit, je suis pile au niveau, kill au micro pour les minority, vos mc’s jouent les corbeaux mais ne sont que des petits colibris, vos mc’s jouent les gosse beaux, seulement ils sont pire qu’ODB, il manque plus que le nez rouge quand ils bougent, pour le cirque, ont dit oui, par contre, moi je suis Houdini qui roule d’Igny a Bougligny, le cool picti
5.
Culture 04:28
Laisse tomber le CBD, je suis high et fly, et c’est vrai, j’ai tagge OCTB, tu ne pourras qu’apprécier les traits, j’ai Big et Pac en cd, et aucune sape de traînée, j’écris mon rap sans CC pour blesser les BCBG, Paris Sud sur la map, j’y suis et gratte d’hiver en été, l’attitude wack ne passe ap, je la zappe comme sur la tv, je vais casser la TNT, y a DALS et TPMP, y a Valls et même MLP, en plus des tasses a oilpe, j’ai pas les mêmes modes, les mêmes codes, les mêmes potes, les mêmes prods, les mêmes gobent les mêmes cordes et ficelles usées, voilà les gars d’octobre et d’automne qui entonnent de London aux Dom tom les grandes com officialisées, genre Peace, love, et unité, c’est Tis qui t’offre une idée, c’est voir un frère comme Öster passer à la postérité, c’est voir notre culture ouverte sans que le monde en soit terrifié, apprécie la qualité, j’ai des principes a magnifier. la culture, pas la haute couture, les mesures pas les grosses coupures, la posture, pas de fausses fourrures, bosse l’allure, à ton poste assure, (met en avant) la culture, pas la haute couture, (compte également) les mesures pas les grosses coupures, (porte joliment) la posture, pas de fausses fourrures, (dorénavant) bosse l’allure, à ton poste assure(évidemment) Laisse tomber les feuilles OCB, je suis high et fly et c’est vrai, vos mc’s vont décéder comme le marché du dvd, y a plus de courses effrénés à la bourse mais tout s’est freiné, les meufs épousent ta CB, ou le buzz que Booska P fait, y a que des avocats du diable qui iraient jusqu’à plaider, des gars qui s’invitent à vos tables pour soigner leurs intérêts, un état d’esprit lamentable mais je passe pour JCVD quand je dis qu’il faut s’entraider avant de cibler l’Audi TT, j’ai pas les mêmes modes, les mêmes codes, les mêmes potes, les mêmes prods, les mêmes gobent les mêmes cordes et ficelles cramées, voilà les gars d’octobre et d’automne qui entonnent de London aux Dom tom les grandes com sans pixel 3D, genre Peace, love et unité, résistance aux plus friques, au tendance pull étriqué qui coûte un smic, c’est compliqué, les pitres au micros ciblés émigrent en petit comité, je les dribble et colle un triplé, pour ma clique de T.O.Y. la culture, pas la haute couture, les mesures pas les grosses coupures, la posture, pas de fausses fourrures, bosse l’allure, à ton poste assure, (met en avant) la culture, pas la haute couture, (compte également) les mesures pas les grosses coupures, (porte joliment) la posture, pas de fausses fourrures, (dorénavant) bosse l’allure, à ton poste assure T.I.S, Öster, T.O.Y, apprécie le break, la low end théorie mec, comme Phife en live et direct, je suis le scientifique qui dissèque par 16 mesures voire 17, les mc’s qui me disent fake sont aussi ceux qui vous disquette, ok la rime est discrète, mais peu importe, le feu t’emporte, je peux pas faire mieux que de faire en sorte que ma musique se transporte via les sites net, ok l’ambiance est morte mais la vibe s’y prête, à toyer le rap de minettes, et nettoyer le Game aussi sec, 9.7, 91, 77, numéro siret, mon flow est le best secret, du roro dans ton épuisette, je relance d’une frappe au 6 mètres, avant, faut tous qu’on s’y mette, c’est le genre d’album qui se fête pour que la foule soit satisfaite, c’est pas la fête à la maison, fuck Ashley et Marie-Kate, c’est la défaite à l’horizon si tu me colles une étiquette, t’es desperate à la fin de la saison comme Tom et Linette, maillot Texas Ranger pour represent Walker et Trivette, ça c’est private Tu croyais que c’était fini, au micro, voici del negro comme Vinnie, pour les gros ou les minis, passe du zéro au milli, ni vrai ni faux mais silly, demande l’info à Siri, le flow des mots est haut, rec la démo sur Audacity, ma musique de prolo fuit le ghetto mais son âme y vit, s’inspire des studios Ghibli, de la HBO tv, c’est le sironimo de midi, le Fido dido qui suit, je suis pile au niveau, kill au micro pour les minority, vos mc’s jouent les corbeaux mais ne sont que des petits colibris, vos mc’s jouent les gosse beaux, seulement ils sont pire qu’ODB, il manque plus que le nez rouge quand ils bougent, pour le cirque, ont dit oui, par contre, moi je suis Houdini qui roule d’Igny a Bougligny, le cool picti

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D'un côté, vous avez le flow Terrible et Tonitruant de l'incroyable swingman de la région parisienne. De l'autre, vous avez les vibes, Ö combien délicieuses, de l'homme de l'ombre de Perpignan, à la musique Lo-Fi Önirique. Alors, pourquoi ne pas essayer de combiner les deux sur un projet? Y? Y not?
De notre côté, on ne s'est pas posé la question très longtemps. Et voici le résultat.
T Ö Y
TERROR OF THE YEAR
2023

Dédié à toutes les personnes qui nous regardent du ciel. Elles ont été nombreuses en 2023.
Welcome to Elio.

credits

released September 22, 2023

beats: Öster
rhymes: Tis
life (and mix): Dysflow

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