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Le monstre arrive [2012]

by TIS

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1.
Quand tu parles sans rien connaître, et de manière très incorrecte, quand tu planes et que tu t’ prends pour une étoile et une comète, ou quand tu joues grave le poète, mais que tu nous casses les oreilles, quand tu regardes tous tes collègues de haut car tu prends du grade, et joue le bureaucrate au sommet, quand toi et ta brigade de façon sommaire, parlez en patron, d’un ton pas trop amical, et jouez les agents secrets, quand tu m’ traites en minable avec ton succès, et que tu te prends pour un type formidable, saches que pour tout ça, j’ te tuerais avec le sourire du diable, et dans les poubelles, j’ te laisserais mourir et t’ souvenir de oim, comme quand tu crois que t’es la plus belle, j’ai envie de t’ouvrir le crâne en te croisant dans une ruelle, tu n’ verrais pas venir le drame, et j’ deviendrais plus cruel quand tu joues la grande dame qui ne parle qu’au pluriel de tout Paname, des Mamadou, des (Rachid) Boulaouane, et pour ce soir, le tunnel n’ va pas s’ouvrir au bout de la rame d’une lumière surnaturelle, tu vas plutôt mourir dans le noir, sûr et d’une façon soudaine… tout ça pour dire, j’ te tuerais avec le sourire Quand tu siffles les meufs et que tu gifles les reufs les plus chétifs, et manœuvre en collectif pour faire preuve d’un tempérament impulsif, j’ai bien envie d’ te faire subir l’épreuve de la lame dans le bide avant l’arrivée des keufs, quand tu joues l’homme de l’Atlantide et le sauveur à l’âme sensible, mais qu’à l’arrivée, les caisses de ton œuvre de charité sont vides, j’ai bien envie d’en finir vite avec ton sort, j’ai bien envie que tu en profites comme un sale porc, juste avant le rendez-vous morbide avec ma corde, et quant au profil du père fidèle pédophile, quand le perfide homme fait défiler des mômes pour faire des films, je n’ vais pas perdre le fil, non, bien au contraire, j’ vais plutôt faire parler le devil, donner un goût d’enfer, un courant d’air violent dans les villes, donner un « j’ vous emmerde et je vous enterre vraiment dans mes rimes », et votre sang couleur terne coule au terme d’important sévices, le monstre sans nom à votre service vous tuera avec le sourire Quand tu voles les types, quand tu violes les petites, quand tu flambes, quand tu vends tes titres, et oublies toute l’étique à défendre, quand ta politique devient du vent, et que tes promesses dites deviennent du flan pas très comestible, mais que tu restes digne pourtant, quand tu fais le sale hypocrite, quand tu vois l’esclavage et les chambres à gaz anecdotiques, quand tu nies l’escalade des stéréotypes, quand tu y contribues et gueule sur l’esplanade et continues la mascarade de ton ambiance ghetto clip, quand tu négliges ta conduite, et roules à 100 dans les virages tout en prenant des grosses cuites, fauche un enfant sur ton passage, moi j’envisage les gros titres, avec un sourire sur mon visage, la rubrique nécrologique avec ton sang comme remplissage, un message catégorique du carnet de bord aux pages d’une rigidité cadavérique, j’aimerais vous dire d’une part que, plus d’une fois, la mort se mérite, comme la vie quelque part, et puis que d’autre part, c’est terrible, mais tu nous manqueras pas, mais quand même, je te dédie ce titre, à ton souvenir, je te tuerais avec le sourire
2.
Quand tu parles sans rien connaître, et de manière très incorrecte, quand tu planes et que tu t’ prends pour une étoile et une comète, ou quand tu joues grave le poète, mais que tu nous casses les oreilles, quand tu regardes tous tes collègues de haut car tu prends du grade, et joue le bureaucrate au sommet, quand toi et ta brigade de façon sommaire, parlez en patron, d’un ton pas trop amical, et jouez les agents secrets, quand tu m’ traites en minable avec ton succès, et que tu te prends pour un type formidable, saches que pour tout ça, j’ te tuerais avec le sourire du diable, et dans les poubelles, j’ te laisserais mourir et t’ souvenir de oim, comme quand tu crois que t’es la plus belle, j’ai envie de t’ouvrir le crâne en te croisant dans une ruelle, tu n’ verrais pas venir le drame, et j’ deviendrais plus cruel quand tu joues la grande dame qui ne parle qu’au pluriel de tout Paname, des Mamadou, des (Rachid) Boulaouane, et pour ce soir, le tunnel n’ va pas s’ouvrir au bout de la rame d’une lumière surnaturelle, tu vas plutôt mourir dans le noir, sûr et d’une façon soudaine… tout ça pour dire, j’ te tuerais avec le sourire Quand tu siffles les meufs et que tu gifles les reufs les plus chétifs, et manœuvre en collectif pour faire preuve d’un tempérament impulsif, j’ai bien envie d’ te faire subir l’épreuve de la lame dans le bide avant l’arrivée des keufs, quand tu joues l’homme de l’Atlantide et le sauveur à l’âme sensible, mais qu’à l’arrivée, les caisses de ton œuvre de charité sont vides, j’ai bien envie d’en finir vite avec ton sort, j’ai bien envie que tu en profites comme un sale porc, juste avant le rendez-vous morbide avec ma corde, et quant au profil du père fidèle pédophile, quand le perfide homme fait défiler des mômes pour faire des films, je n’ vais pas perdre le fil, non, bien au contraire, j’ vais plutôt faire parler le devil, donner un goût d’enfer, un courant d’air violent dans les villes, donner un « j’ vous emmerde et je vous enterre vraiment dans mes rimes », et votre sang couleur terne coule au terme d’important sévices, le monstre sans nom à votre service vous tuera avec le sourire Quand tu voles les types, quand tu violes les petites, quand tu flambes, quand tu vends tes titres, et oublies toute l’étique à défendre, quand ta politique devient du vent, et que tes promesses dites deviennent du flan pas très comestible, mais que tu restes digne pourtant, quand tu fais le sale hypocrite, quand tu vois l’esclavage et les chambres à gaz anecdotiques, quand tu nies l’escalade des stéréotypes, quand tu y contribues et gueule sur l’esplanade et continues la mascarade de ton ambiance ghetto clip, quand tu négliges ta conduite, et roules à 100 dans les virages tout en prenant des grosses cuites, fauche un enfant sur ton passage, moi j’envisage les gros titres, avec un sourire sur mon visage, la rubrique nécrologique avec ton sang comme remplissage, un message catégorique du carnet de bord aux pages d’une rigidité cadavérique, j’aimerais vous dire d’une part que, plus d’une fois, la mort se mérite, comme la vie quelque part, et puis que d’autre part, c’est terrible, mais tu nous manqueras pas, mais quand même, je te dédie ce titre, à ton souvenir, je te tuerais avec le sourire
3.
(Hippo)Sable dans le dos, champagne dans le seau, Mon sabre dans le thorax d'un anthropophage, J'bois du jus d' coco dans des coquillages, Dors dans un sarcophage encerclé par de gros grillages car J'ai peur d'être attaqué quand je fais la sieste. Mon visage est balafré, j'ai connu la peste. On est loin des vacances à la plage, J'ai rejoint cette île effarante à la nage. Oui, j'ai fui Ce monde rempli de zombies de grands tas d'immondices y songe. Tout s'est effondré, il y a 28 ans Impuissant, J'ai regardé ma mère se faire manger par des centaines de morts-vivants, C'était exorbitant. Donc, isolé, je survis au soleil et j'attends Obligé de me suffire à moi-même, c'est navrant. (Moax) Mon destin changea un vendredi soir entre 10 et 11, le moment fut noir triste et sombre, j'deale mes ons' tranquille, devant ce bar un 1er zombie en pleine rue, le ventre ouvert, les yeux hors des orbites je tombe de haut, ému par la scène, n'aperçois pas le second derrière moi, l’esquive d'un poil de uc' grâce au barman et à sa vodka ! Hop là!! Roulade à la Moax Payne, mon coeur s'emballe, attrape un tesson de teille' et te choppe ça à la gorge Saigne! Frappe partout où je peux, j’ai pris la fuite ce jour-là depuis mes potes se nomment Whisky-Cola, j'suis devenu un bouseux armé jusqu'aux dents, pendant un moment j'étais lié à un groupe de gens, même ma famille fut dévorée dès les premières semaines, on a perdu les trois quarts de l'équipe en une saison seule, je traîne, gueule, peine à trouver de la graille, la chair humaine n'est pas si mal frère, plus de raison (Tis) Moi j’ suis seul parmi les monstres, et le seul gars qui dénonce le linceul où glisse le monde, la noirceur qui risque de plomber l’atmosphère déjà grise et sombre, ouais j’ suis seul contre tous, et sur le seuil, j’ te repousse, car sans vouloir mépriser l’autre, je m’isole, deviens ouf, fais ma place parmi les ombres, crée une bad combinaison, déraison et manque de souffle, enfermé dans ma petite maison, toujours vivant tant que je souffre, constamment au bord du gouffre, sous une incessante pression, j’ parle pas avec dérision, en mission dès que la porte s’ouvre, avancer dans ce monde de sourds est ma toute première ambition, j’ me pose pas dix mille questions, car la seule réponse que je trouve est qu’il faut survivre en eaux troubles, et marcher en toute discrétion, réalité ou fiction, j’ai l’impression qu’on s’engouffre dans un tunnel qui sent le souffre, et sans y voir de direction, moi j’ai l’intime conviction, que tous ensemble, on s’étouffe, et qu’il vivre seul et c’est tout, ouais, c’est mon unique solution (face aux monstres…) (Walter) J'ai besoin de cet outil planqué dans l'garage mais comment l'atteindre, mon jardin est infesté d'mecs à 3 jambes, j'en ai dessoudé 1, puis 2, puis 54, j'm'en rappelle, au 30e je n'avais qu'23 ans, belle journée mémorable, j'ai étouffé mon p'tit frère avant qu'sa morsure n'atteigne mes artères fémorales, oui c'est dur ma mère y tenait à c'mioche, elle a pas fait long feu une fois des leurs j'ai du la finir à la pioche. A présent j'suis rodé (c'est sûr) limite je trouve ça cool qu'on n's'accouple plus qu'on puisse couper des têtes, qu'on s'saoule au sang d'zombie coupé à une flotte virusée, maintenant qu'on n'bouffe plus trop j'ai arrêté d'mouler des cakes, j'aime recevoir des gens oui j'suis plus cool qu'avant, si tu as froid je t'en prie viens te réchauffer. J'allume le four, chut, ne dis rien, sachant qu'je tiens le fusil Approche l'ami que j'puisse te désosser (easy)
4.
J’aime pas rapper sur le rap d’habitude, mais quand il vole bas, au ras du bitume, en basse altitude, c’est insupportable, et j’ai toujours su pour le diable, que celui-ci prendrais des tunes, et bien sûr nous vendrais des tubes après une étude mondiale, celui-ci torture mon âme, et jette aux ordures mon égo, pour quelque chose d’immoral, d’innommable, d’indigne en un mot, j’ai des jeux de mots innombrables, mais lui, il préfère la naie-mo, l’argent facile, les hommes qui se comportent comme des animaux , comme des minots qui en gaspillent, loin des salaires minimaux, c’est des millions qu’emmagasine le diable qui roule en limo, avec des bimbos en magazine, des magazines plein d’idiots, et pleins d’idiots qui nous fascinent, ça fait de nous des sales nigauds, qui salivent qu’aux bruits des machines à scandales, des saligots qui s’alignent au talon d’Achille du diable, et ne voient pas plus haut, j’ai une théorie, tu me diras oui ou non, si elle tient debout, mais si le diable trinque à notre santé, c’est qu’il est dans chacun de nous, voilà tout refrain Si le rap est plus risible que jamais, et nullissime, c’est que la monnaie a une influence de plus en plus nuisible, que la zik est une usine, où les hommes se battent pour percer l’unique cible à abattre, c’est sur la table de leur cuisine qu’ils autopsient le rap, et diagnostiquent l’homicide par une toxine durable, celle du mc trop docile (trop docile)…on s’ prétend pourtant innocents, j’hallucine, alors qu’on est tous coupables ou capables d’actions abusives (abusives)… de réactions et de jalousie compulsives, si t’as déjà vu l’ diable, explique moi pourquoi t’as voulu l’ suivre… j’ parle en général, donc tout le monde est visé, du grand général, aux petits soldats, mais y aura pas de danger d’ mélanger les grades, ainsi que les responsabilités, des gens vénérables, voilà c’ qui nous manque en réalité, les anges et les diables jouent avec nous comme des instruments, mais si l’ diable trinque à notre santé, c’est qu’il est l’ plus influent, simplement refrain J’ parle aux maisons de disques, aux médias, lance un discours immédiat, un flow liquide et wicked pas traduit par wikipedia, parle aux rappeurs hypnotiques avec leurs rythmiques Eppeda, autant qu’aux nostalgico-tragiques, kicke de la ligne médiane, notre musique a le bonnet d’âne, et c’est notre faute à tous, ainsi qu’au public qui fait grimper la vente des fausses partouzes, des clichés qu’on lance par 12 ou 16 (mesures) comme d’immenses bad news, la France dans une bouse épaisse, et même sa présidence a l’ blues, quand… même le rap utilise, et applique les lois du capitalisme, qu’ les mc’s sont enclins au cannibalisme, j’ suis un de ces gars qui balise, au bout du compte, qui bouclera ses valises, mais c’est la même partout autour du monde, y a du bourrage de crane sur les ondes, autant qu’a la télé, mon entourage prône l’insurrection, mais passe pour des fêlés, le paysage est obscur et sombre, mais pas de quoi vous affoler, ou éveiller chez vous des soupçons, vous avez raison, car le diable boit à notre santé…rien de grave…
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J’aime pas rapper sur le rap d’habitude, mais quand il vole bas, au ras du bitume, en basse altitude, c’est insupportable, et j’ai toujours su pour le diable, que celui-ci prendrais des tunes, et bien sûr nous vendrais des tubes après une étude mondiale, celui-ci torture mon âme, et jette aux ordures mon égo, pour quelque chose d’immoral, d’innommable, d’indigne en un mot, j’ai des jeux de mots innombrables, mais lui, il préfère la naie-mo, l’argent facile, les hommes qui se comportent comme des animaux , comme des minots qui en gaspillent, loin des salaires minimaux, c’est des millions qu’emmagasine le diable qui roule en limo, avec des bimbos en magazine, des magazines plein d’idiots, et pleins d’idiots qui nous fascinent, ça fait de nous des sales nigauds, qui salivent qu’aux bruits des machines à scandales, des saligots qui s’alignent au talon d’Achille du diable, et ne voient pas plus haut, j’ai une théorie, tu me diras oui ou non, si elle tient debout, mais si le diable trinque à notre santé, c’est qu’il est dans chacun de nous, voilà tout refrain Si le rap est plus risible que jamais, et nullissime, c’est que la monnaie a une influence de plus en plus nuisible, que la zik est une usine, où les hommes se battent pour percer l’unique cible à abattre, c’est sur la table de leur cuisine qu’ils autopsient le rap, et diagnostiquent l’homicide par une toxine durable, celle du mc trop docile (trop docile)…on s’ prétend pourtant innocents, j’hallucine, alors qu’on est tous coupables ou capables d’actions abusives (abusives)… de réactions et de jalousie compulsives, si t’as déjà vu l’ diable, explique moi pourquoi t’as voulu l’ suivre… j’ parle en général, donc tout le monde est visé, du grand général, aux petits soldats, mais y aura pas de danger d’ mélanger les grades, ainsi que les responsabilités, des gens vénérables, voilà c’ qui nous manque en réalité, les anges et les diables jouent avec nous comme des instruments, mais si l’ diable trinque à notre santé, c’est qu’il est l’ plus influent, simplement refrain J’ parle aux maisons de disques, aux médias, lance un discours immédiat, un flow liquide et wicked pas traduit par wikipedia, parle aux rappeurs hypnotiques avec leurs rythmiques Eppeda, autant qu’aux nostalgico-tragiques, kicke de la ligne médiane, notre musique a le bonnet d’âne, et c’est notre faute à tous, ainsi qu’au public qui fait grimper la vente des fausses partouzes, des clichés qu’on lance par 12 ou 16 (mesures) comme d’immenses bad news, la France dans une bouse épaisse, et même sa présidence a l’ blues, quand… même le rap utilise, et applique les lois du capitalisme, qu’ les mc’s sont enclins au cannibalisme, j’ suis un de ces gars qui balise, au bout du compte, qui bouclera ses valises, mais c’est la même partout autour du monde, y a du bourrage de crane sur les ondes, autant qu’a la télé, mon entourage prône l’insurrection, mais passe pour des fêlés, le paysage est obscur et sombre, mais pas de quoi vous affoler, ou éveiller chez vous des soupçons, vous avez raison, car le diable boit à notre santé…rien de grave…
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J’ai des lyrix terre à terre, et pourtant, je vise le ciel, on était censés rien faire, mais j’ai changé en ce qui me concerne, je veux monter très haut, et démontrer aux démons qui m’observent que rien n’est plus beau pour notre égo que quand l’esprit s’élève, c’est bas de céder la haine, donc avant qu’elle franchisse tes lèvres ou qu’elle n’envahisse tes rêves, on va t’aider à la perdre, ouais, on va s’aimer à perdre haleine, célébrer l’hymne à la paix, si t’es célib ou assez libre, viens dessiner à la craie celui ou celle avec qui tu pourrais partager le ciel, les nuages et le soleil, en bref, l’essentiel du paysage, si les voies d’atterrissages sont périssables et anciennes, jamais je descend de scène, car j’ai un rôle à jouer dans le métissage, dans le sourire sur les visages, celui que les gens ferment, tous les jours, tous les mois, tous les ans même, dis moi où ça les emmène, on vise plutôt plus haut, plus beau, crois moi, on est des centaines, on vise plus loin jusqu’à ce qu’il n’y ai plus rien, on vise le grand ciel Mes lyrix se mêlent à toutes les rythmiques sereines, je fais un hit en une semaine, et dans le clip, tu verras que je vise le ciel Quand mon flow se déchaîne, quoi qu’on dise, il brise mes chaînes, garantit la prise d’échelle musicale et sociale, moi je vise le ciel (x2) On vise haut, style hostile au stylo, lignes au kilo, brille au micro, crie nos rimes au risque de s'égosiller mais l'horizon terrorise, alors on vise le plus haut possible et aussi on brise les théories, ces prisons qui nous brident, horribles oraisons qui nous "kill" sans raisons, qui nous figent, au pilori nous fixe, mais laissons. Visons les bons deals, rêvons des bons trips, écrivons les bons titres, essayons de rester des bons types et frayons nous des chemins, créons les bonnes conditions, dessinons nos sillons, les rayons de soleil qui brilleront, balayeront les pluies, on a qu'a se le dire, on est pas les pires, pas très loin du paradis, mec on a qu'a partir, allons construire l'avenir, là ou la vie nous paraîtra facile, le plus loin possible de l'abime, de la ville et de la crise qui paralyse nos milles tentatives d'en finir avec la guigne. Imagine la vie avec l'amour en ligne de mire imagine les rires, les milles émotions que tu n'auras plus à retenir REFRAIN

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Pour ce premier maxi, un grand merci à Rémi Pee (Tumsoul Prod), Get Eye et Oteest (Strange Nature), Hippocampe fou, Moax Payne et Walter Morgan (Val Mobb Industries), Didier Gaillet (Rigoles Roads Studio), Darea (917 Watts), le CAP, Dj Cross Y (Metastasis), Dj Venum (Cleaner of shit records), Nyumind (best kept secret), Nehr, Natural High, et bien sûr, à monsieur Naoki Urasawa pour l'inspiration (ne me faites pas de procès!).

Chaque morceau de ce projet est dédié à mes monstres et à la mémoire de Yannick Zicot et Victor Suzannon.

credits

released August 31, 2012

Les illustrations sont extraites du manga "Monster" de Naoki Urasawa.

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TIS Paris, France

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