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Tis & Kaer MKS (SKR) - P​é​riode bleue [2024]

by TIS

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1.
Je ne sais pas pourquoi tu joues la reine car… tu n’as vraiment rien de royal, mais un air malsain déloyal, tu vas donc te prendre ce flow en pleine poire… ce débit de mots incroyables, je l’écris, je pars en croisade contre toi, pour que tu changes de scénar… car le film est une rigolade, en fin de compte, t’as une vie de nomade, tu me regardes de haut, tu peux à peine voir… que t’es juste une tarée malade, t’es en bus pour tes escapades, t’es une fausse princesse mongole Kokachin… t’as pu berner tous les simplets, et mélanger le faux du vrai, comme pour la farine et la cocaïne… t’es frauduleuse, au fond tu sais, t’es une voleuse à franc succès, tu te moques du toc, tu veux du platine… et de l’or mais encore plus laid qu’un conquistador portugais, ton esprit est mort et ton corps décline…au fil des mesures et couplets, conflits et blessures que tu crées…. Adieu créature, je m’en vais dans la nature, je m’enterre dans les ratures, je m’enferme dans l’écriture, quand tu prends l’air grande reine et lady pure moi je parle en verlan, et te défigure, Adieu créature, je m’en vais dans la nature, je m’enterre dans les ratures, je m’enferme dans l’écriture, quand tu prends l’air grande reine et lady pure, pourquoi en faire tant? Fuck ta pédicure. Je ne sais pas pourquoi tu joues la duchesse… ton titre de noblesse a expiré ou jamais existé, tu ne fais que t’agiter comme Louis de Funès… pour la beauté du geste déplacé, de l’attitude blasée, tu étales ton métal et tes richesses… mais en vitesse, je vais te démasquer, tu n’as jamais casqué, au risque de glacer tes nuits d’ivresse…. t ’as toujours réussi à te placer, c’en est assez, pourquoi tu ne pas embrassé, pourquoi tu m’as embarrassé, pourquoi on ne s’est pas enlacé pour effacer tout ton passé, pourquoi tu ne peux qu’apprécier le bel acier sur les bracelets, je fais que brasser du vent, lassé, la couleur du cœur violacée par la douleur, m’a terrassé, dédicacé pour les tasspe qui vont se prélasser parce qu’elles ont bel aspect, qui ont pas trop l’air dévastées, qui marquent sans faire des passes dé (cisives), au mic je vais les blaster, sans dire les grâces et namaste. Adieu créature, je m’en vais dans la nature, je m’enterre dans les ratures, je m’enferme dans l’écriture, quand tu prends l’air grande reine et lady pure moi je parle en verlan, et te défigure, Adieu créature, je m’en vais dans la nature, je m’enterre dans les ratures, je m’enferme dans l’écriture, quand tu prends l’air grande reine et lady pure, pourquoi en faire tant? Fuck ta pédicure.
2.
Je n’ai pas besoin que tu viennes pour me faire de la peine, je me rappelle de la scène ou je voulais que tu sois ma reine, mais tu t’es surtout bien marré, pas de fée ni de marraine, mon carrosse était à l’arrêt ou restait à la traîne, donc nos routes se sont séparées, pas de chemin parallèle, puis un jour, on s’est recroiser et ce n’était plus la même, y avait mon clip à la télé, ma voix sur la fm, donc t’as montré de l’intérêt, curiosité soudaine (Damn) t’es toujours aussi sublime et malsaine, t’es toujours aussi peu subtile, dans le style d’une baleine, je t’ai vu arriver et saliver sur mes droits Sacem, vante mes qualités mais à dire vrai, ça n’est que balivernes car… je gagne le même argent qu’avant donc change de scénar, tu ne me convainc pas vraiment, je range le César, si t’es comédienne, apprend à vendre l’espoir, toi t’es qu’une hyène qui attend le sang mais laisse voir toutes tes intentions, ton plan, tes dents sont d’ivoire, ton cœur est seulement ciment et ton esprit noir, quand tu parles de sentiments, je suis tenté d’y croire mais tu t’es planté d’histoire autant que d’homme galant pour ton samedi soir Baby, i don't need you body (je n'ai plus besoin de personne, surtout pas de ta personne) Baby, i don't need nobody (je n'ai plus besoin de personne, surtout pas de ta personne) Je n’ai pas besoin que tu viennes et que tu partes, je n’ai pas besoin que tu te deviennes encore plus une chienne en traînant la patte, je n’ai pas besoin que tu prennes ni les clefs de mon appart, ni mon chéquier, ma carte, et sur l’échiquier c’est un vrai massacre, tu maîtrises et m’a mis échec et mat, tu fatigues et tu m’épuises à vouloir chercher la blatte, la petite bête pour toujours faire la tête, mais fête chez moi, squatte, loving fun, chela ouat, quand tu m’appelles pour des problèmes qui datent… t’es la candidate qui se fout du qu’en dira on, t’es là pour l’ambiance et pour les bonnes vibrations, pour la danse et l’excitation, consoler tes lamentations consommer du rhum à foison, au summum de l’exploitation, tu m’as pris pour un bon garçon… oui tu m’as pris pour un autre, un apôtre, mais je ne trinque pas à la nôtre et garde la boisson, je m’écarte de toi, le poison, parfois je m’égare mais passons, je ne vis plus dans l’espoir d’une belle relation, en conclusion Baby, i don't need you body (je n'ai plus besoin de personne, surtout pas de ta personne) Baby, i don't need nobody (je n'ai plus besoin de personne, surtout pas de ta personne)
3.
Regarde moi dans les yeux, regarde bien, ils sont deux, regarde comment ils brillent car t’es une belle fille pour nous, les messieurs, de l’espoir, j’en ai peu, mais, ton sourire est radieux, c’est chaleureux comme les Antilles, tu vises dans le mille, tout pile, pas d’ à peu près, moi j’ai le rire un peu niais, je transpire et pour de vrai, je respire mais ça reste pire, car je ne fais que dire que tu me plais, mon désir n’est pas secret, mon plaisir passe par ce biais, c’est de te voir me dire qu’on pourrais partir à deux, mais là je sais… que tes silences en disent long, sinon t’aurais déjà parlé mais ni oui ni non, t’as rien dit et là c’est bidon, ni bon ni mauvais, car je suis un petit con qui pond des histoires au scénar nippon fripon, dérisoire mais à ta disposition, et l’histoire que nous bâtissons, disons je m’y casse les dents violemment comme Battiston, tes silences en disent long, sinon t’aurais déjà parlé mais ni oui ni non, t’as rien dit ni pris les guidons qui font que l’on tourne plus en petits ronds mignons, tu te fous de mes opinions, plions les bagages et l’ordre de mission, visons autre chose que les conditions de ski de fond, je mange du pain noir tous les soirs en quignon.. Mieux vaut ton absence que ton indifférence maintenant que j’y pense, mieux vaut que je te jette dans les oubliettes au vu des circonstances, mieux vaut ton absence que ton indifférence maintenant que j’y pense, mieux vaut que j’arrête de me mettre en tête que ta perte est immense Regarde moi dans les yeux, regarde bien, ils sont deux, ils sont bien vides et creux, le regard vitreux sans même fumer de beuh, de l’espoir, j’en ai peu, car il meure à petit feu, part, c’est devenu malheureux, beaucoup trop fleur bleue, cette volonté d’y croire, qu’on est deux dans cette histoire, qu’on voudrait la même chose, des scènes carré rose, des fleurs qui éclosent, nos cœurs qui explosent, arrose le samedi soir, tous nos vœux qu’on exauce, nos peurs et névroses, laideurs qu’on expose, bonne et mauvaise doses d’humeur qu’on dépose, chanter Waterfalls en chœur dans ta baignoire… mais ton silence est plus qu’éloquent, il a salement bousillé mon plan, t’as froissé ma chemise Saint Laurent, et mon ego depuis bien longtemps, tu me dis pourquoi t’es pas content?! Je te maudis parce que je parle dans le vent, je t’avais dit que c’était important, le cœur palpitant, mais t’as pas trop le temps, ouais ton silence est plus qu’éloquent, il fait simplement tourner mon sang, t’as toujours un faux air innocent, comme un faussaire mais ce que je ressens est devenu clair, hyper conscient, je suis fatigué de faire semblant, dans mon cœur, c’est un hiver constant, ou je perds doucement mes repères, sur les nerfs, je fous le camp
4.
Je rappe pour les tsundere que tu croises dans la ville… celle qui vont te sidérer car elles sont trop hostiles… celles qui vont considérer que t’es un imbécile parce que t’aimes que les filles faciles qui viennent d’Asie ou bien des îles… tu ne me connais pas pourtant tu crois viser dans le mille… je ne te connais pas, viens pas me les briser, je suis tranquille… au premier regard, tu m’as méprisée car tes cils se sont froncés comme tes sourcils, me juger vite, c’est bien ton style…. Malgré tout tu restes belle, mais t’es sur la défensive comme Presnel, j’ai du mal à suivre et au fil des semaines, t’es devenue moins agressive et t’apprécies mes 16, freine tes attitudes western, on va devenir best friend… y a cette soirée ou je t’ai raccompagné, t’étais toujours belle mais t’étais plus frêle car vraiment chargée…mais j’en ai pas profité, car naufragé, perdu entre bien et mal, femelle et mâle enragé, T’es belle quand tu t’y mets, t’es celle que je visais, j’en ai pas profité mais t’étais frêle quand tu tisais, t’es belle quand tu t’y mets, t’es celle qui me séduisait, moi je t’ai raccompagné mais j’étais frêle quand je conduisais (x2) Avant que je te raccompagne, t’avais ta tête sur mon épaule, tes mains douces qui me frôlent, et j’avais le mauvais rôle de garder self control… tu me souriais mais ce n’était pas très drôle, t’avais le body dancehall, l’esprit d’une soirée soul… et moi je devais rester classe, et de glace, comme le jazz joué dans les mall, je brasse, tu nageais le crawl… donc je n’ai pas profité, ni guidé par la gnaule, de tes folles idées… t’es belle quand tu mets, mais t’avais trop tisé, ok t’es celle que je visais, mais moins alcoolisée, et j’étais frêle quand je conduisais, tes beaux yeux reluisaient, c’étaient des perles qui me disaient, viens sous mes draps glisser, qui sait? T’es belle quand tu t’y mets, mais t’étais trop fragile, ok t’es celle que je visais quand je te croisais en ville, moi j’étais frêle quand je conduisais, car c’était trop facile, ouais t’es de celle qui m’ont distrait mais je suis pas imbécile… T’es belle quand tu t’y mets, t’es celle que je visais, j’en ai pas profité mais t’étais frêle quand tu tisais, t’es belle quand tu t’y mets, t’es celle qui me séduisait, moi je t’ai raccompagné mais j’étais frêle quand je conduisais (x2)

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Hommage à la "période bleue" de monsieur Serge Gainsbourg, au temps où il était cruel mais génial, triste mais drôle, amoureux mais misogyne.

Merci également à Saneyes pour l'inspiration: saneyes.bandcamp.com/album/saneyes-gainsbourg-youre-under-arrest-detournement-dart-mineur

Enfin, merci à l'univers des mangas pour toutes les "dere".

Clin d'oeil à l'anime Blue Period et à Kind of blue de Miles.

credits

released March 21, 2024

Lyrix : Tis (Sukkubwoy #1)
Beats: Kaer MKS (Sukkubwoy #2)
Mix : Darea (Sukkubwoy #3)

"Si t'es une succube baby, t'es une sukkubeyyy"

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