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Tis & Goomar - Inspirations [2018]

by TIS

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1.
Je reste près de vous, un frère debout qui flaire le coup, incredible, je crée des nouvelles perles de fou, et fais d'une pierre deux coups, vous satisfait en terme de goût, anime le boulevard, avec l'ami Goomar, Je reste près de vous, un frère debout qui flaire le coup, incredible, je crée des nouvelles perles de fou, et fais d'une pierre deux coups, vous satisfait en terme de goût, lève tôt ou couche tard, entre rêves et cauchemars je reste près de vous, à proximité, et je suis pas prêt de vous quitter, ma musique est illimitée, participe hiver comme été, impossible de l'éliminer, elle vous accompagne avec passivité, facilité, place ses idées, passe vérifier, elle est dans l'avenue, dans la place, dans la terrasse, déguisée, dans la rue la plus dégueulasse à la place de l'épicier, dans l'allée un petit peu plus classe, loin des masses terrorisées, 90 bpm, la rage et peine sont temporises, la page est pleine, la marge est telle qu'on peut rien improviser, l'imaginaire, la magie claire sont maintenant favorisés, y a pas de fausses infos listées, moi que je compose qu'à partir de la vérité c'est la vie grise et rose qui est personnifiée. Je reste près de vous, un frère debout qui flaire le coup, incredible, je crée des nouvelles perles de fou, et fais d'une pierre deux coups, vous satisfait en terme de goût, anime le boulevard, avec l'ami Goomar, Je reste près de vous, un frère debout qui flaire le coup, incredible, je crée des nouvelles perles de fou, et fais d'une pierre deux coups, vous satisfait en terme de goût, lève tôt ou couche tard, entre rêves et cauchemars Je reste près de vous, a deux pas des bâtiments, au milieu des habitants, même dans les lieux ultra flippants, sens la beuh des trafiquants, les yeux, les regards fuyants, les sourires merveilleux des enfants de dix ans, non méprisants, dépaysants, je reste près de vous quand tout est vraiment flou ou plus qu'évident, juste écrivant, historiquement, jusqu'à maintenant et souvent systématiquement sur cette vie de chien vaurien comme mista chick clan, ou celle qu'on savoure bien, que la nostalgie prend, je reste près des loups terrifiants, des agneaux doux séduisants, je vous avoue tout, c'est kiffant, de couvrir un panel aussi grand, respect à tous les vivants, je reste près de vous depuis le temps, je sais pas si ça vaut le coup, car malgré tout, c'est insuffisant, par rapport à tout ce qui se vend, mais pour autant, je reste près de vous à proximité de la réalité
2.
Le dimanche était pénible et le lundi pas terrible, le mardi matin commence pas très bien quand je regarde mes rides, mais j'obtiens tout ce que je mérite, atteint par le quotidien qui m'impose des rythmes qui font qu'en un rien de temps, mon entrain se délite, mon train train déraille très vite, pas de soleil floridien a travers les vitres, merde, et la qualité de l'air est vraiment limite, très peu de quantité d'herbe pour faire un pique nique break, et le temps passe trop vite, bref, il faut que j'en profite, atteint de là métropolite, maladie des villes qui file comme un bolide parmi la foule, le sang coule en hectolitre, du sang d'encre, on en manque pas quand arrive les gros titres, on invente plutôt des flow d'alcooliques pour vomir des mots laconiques, assez soûlée de cette maladie chronique, malgré tout je suis resté comme Harry Connick, jazz et soul, pas électronique, depuis la petite voiture j'ai la même conduite, la même allure, la même écriture trop fluide, et beaucoup de fuites vers le large, via les pages, tu sens que je m'évade tout de suite de ma cage, et que je partage la rage que je cache sous le sweat, à la marge, via les pages, tu sens que je m'évade tout de suite de ma cage, et je partage la rage que je cache sous le sweat.... et on continue la poursuite, j'essaye de semer le stress par 16 et 12, 8 (mesures), et même le plus grand malaise devient tout sweet, ici Paris, un safari, mais je voudrais fermer tout le site, le boucler pour l'année, revoir l'acoustique, avec un magic blue stick, changer le mauvais air qui enterre les moustiques, transformer tous les frères en Notorious Big et que tous kickent sur le thème, la métropolite freine le crew des loustics qui se promènent, qui bougent et cruse vite, comme Henry Ian Cusik, ils se perdent, y a pas de Jacuzzi ni de Cadillac musique, on se démerde au jour le jour, sans séjour all inclusive, et c'est clair que cette maladie devient plus qu'intrusive, on s'vener, on est sur les nerfs, beaucoup trop impulsif, c'est la guerre sur Paname sans arme de destruction massive, on déterre le double h dans l'âge de pierre primitif de notre ère, notre seul et vrai kif, animer le periph de nos vers, la métropolite peut devenir un vrai hit pour l'hiver, frère... la métropolite est maudite, nous pousse à faire les troglodytes, on s'enferme, frère, la métropolite impose des faux rythmes et des pauses de folie passagère, frère, la métropolite est maudite, nous pousse à faire les troglodytes, on s'enferme, frère, mais on a des doses de métaphoriques proses qu'on pose et la zik nous libère....
3.
Le truc est simple, quand il faut rapper, je rappe, style boom bap ou bien trap, bippe Goomar sur le portable, si c'est insupportable, tu peux parler, rester assis comme d'hab, tu peux même te lever et tailler, t'es pas aussi fort que oim, l'un des derniers super guerriers n'est pas un type cordial, vener, speed et déterminé à la Mary Dorman, la vermine est éliminé, les petits Gary Coleman vont retourner dans leur cité par le Baltimore Tram, hooligan ou genre calme, Gucci mamie, grande dame, ootchie wally ou bien girly normale, tous vont sentir mon énergie d'homme fly, baggy, Nike, hoodie Kani, c'est tout Paris en compagnie de mes amis que j'enflamme... et tous vos posses de faux mc's rendent l'âme, on apprécie pas leur récit tant celui ci prend le crâne, je suis resté quasiment jazzy, quand j'ai choisi Coltrane, mais mes habits sont, pour la vie, Jordan, Deklin l'a dit... (Je vis hip hop). Le truc est simple, quand il faut kicker, je kicke, quand faut fabriquer le hit, quand faut provoquer le feat, quand faut remporter le titre, je reste un acteur majeur, l'énigmatique, un créateur de vrai labeur, mais tu dénigres ma zik, moi j'irais encore de l'avant, avec un débit classique, si c'est efficace, clique, et je te le dédicace vite, le rap n'est pas qu'un sport de sang, mais une vraie gymnastique, voila l'original spit d'un grand génie de la street, attend, je rédige la suite, voila le single, le jingle pour ceux qui le veulent en amuse gueule et pringle, le Mc magique donne des skittles, du plus big au plus little, même au public des Beatles, et n'importe qui s'invite dans la battle, frais comme du Snapple Apple, à petit pas, mais pas seul, je crée une dynamique, bad comme Michael, j'éclate tous les kids Paddle, et ceci depuis le craddle (je vis hip hop)
4.
(Tis) On rappe tant qu'on est vivant, on gratte tout en respirant, on frappe, et c'est évident que ça parle plus aux résidants de Gotham qui apprécient tant le flow des mots et son charme plus que saisissant, la tête dure manque d'air pur, nos crânes sont de vrais ciments, sors le poisson du bocal, garde le récipient, donc voila le poison vocal, lyrical, plus mon récit dedans, sert la petite boisson locale, si t'es hésitant, normal, même après 10 ans, pas de smile plutôt séduisant, mais toujours un sacré style pour les médisants qui râlent, restant très distants, moral plus que résistant, super héros de l'oral, on me reconnaît de l'Oural a l'Ouzbékistan (MC Kaur) passion when acts as a revival technique, guided well leaves behind low fatigue, may i release similiar aspirations i step out to reach, continental versions of accursed philosophies, broken arrows of my compass seldom, help me to collect the tales n escape city chaos, while the only reason you consume is "why not" read a book or snif it out, me? i keep in my empty pocket rich stories, like visuals of hanging bras in them, local trains, thinkin where could be its dead end? i call it caterpillar evolution, never stick to the sown, i detach till I grow (Colfer) partage le mic dans la good vibe, de Mumbai a Paname, nos rimes s'baladent et quittent leur pays d attache, Trace la route parcourt la carte, toujours une enceinte dans l back pack, croisant de braves gars par hasard en freestylant a l arrache, ca part en live quelque soit l’endroit, sur la plage à Goa autant qu'a Montpeul tard le soir sur les marches de l’Agora, représente la diaspora des disciples de la plume qui assume et taffe sur leur lacunes sans tomber dans le racolage absurde, même si parfois ca dérape en impro ingérable, sans calcul, saches que le fond est plein d'espoir, et que derrière tout cela s' cache un message d'adulte, perdu entre 4 murs qui depuis le point de départ prend l'art tel un phare dans la brume

about

NOUS SOMMES VIVANTS!!!

Dixième planète
917 watts

Pour baby C et tous ceux qui nous regardent du ciel...

credits

released June 28, 2018

Prod: Goomar
Lyrix: Tis, MC Kaur et Mister Colfer
Cover: Mister Colfer
Mix: Spriggan

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TIS Paris, France

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